Chambre 2806 : L'affaire DSK VOD

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Ce documentaire en 4 parties retrace l'affaire d'agression sexuelle ayant impliqué Dominique Strauss-Kahn en 2011, alors au sommet de sa carrière.
Épisode 1 : 43mn
Épisode 2 : 47mn
Épisode 3 : 45 mn
Épisode 4 : 63mn
  • Titre original : Room 2806 : The Accusation
  • Fiche mise à jour le 14/01/2021
  • Année de production : 2020
  • Réalisé par : Jalil Lespert
  • Date de sortie : 07 décembre 2020 VOD
  • Date de reprise : non renseignée
  • Distributeur France : Netflix
  • Distributeur international : Netflix
  • Durée : 200 minutes
  • Origine(s) : France
  • Genre(s) : Documentaire
  • Pellicule : couleur
  • Format de projection : 2.35 scope
  • Format son : Dolby Digital
  • Visa d'exploitation : non renseigné
  • Indice Bdfci :
    66%

Vos commentaires et critiques :

"Chambre 2806" : l’affaire DSK minutieusement détaillée dans une mini-série documentaire sur Netflix.
Chambre 2806: L'Affaire DSK, réalisé par Jalil Lespert, est un docu-série Netflix en quatre épisodes reprenant le scandale de mai 2011 impliquant Dominique Strauss-Kahn, alors directeur général du Fonds monétaire international (FMI), peut-être l'institution financière mondiale la plus puissante, et un candidat potentiel à la présidence française.
C'est une sorte de #MeToo en avance, avec des témoignages de femmes, exceptionnelles pour l'époque, pionnières», se vante le producteur de Chambre 2806: L'Affaire DSK, Philippe Levasseur. S'appuyant sur les souvenirs vraisemblablement flous des téléspectateurs concernant les faits sordides de l'affaire et l'atmosphère actuelle dans laquelle les questions raciales et de genre sont partout dans les médias, Chambre 2806 est explicite dans sa tentative de réhabiliter Diallo. Elle apparaît à plusieurs reprises devant la caméra et les cinéastes font de leur mieux pour la dépeindre comme une victime, une pauvre immigrante noire vivant dans le Bronx, la proie d'un puissant homme blanc dans un hôtel haut de gamme de Manhattan. Le décor est planté. Le procès du pire peut commencer. Car la défense va devoir salir l’image de la pauvre femme de chambre guinéenne, de cette bonne musulmane travailleuse qui élève seule sa fille. Les avocats de DSK vont tout faire pour jeter le doute sur le récit de celle qui dit être victime de ce Français riche et puissant. Jusqu’à présent, le bureau du procureur général de New York a nourri la presse américaine de fuites dressant un portrait de pervers. Traces ADN, vidéos, autant de preuves auxquelles la défense n’avait pas accès jusqu’à hier. À présent, sa contre-attaque va être impitoyable. Déjà des détectives traquent la moindre faille. L’accusatrice avait-elle des dettes ? des amis peu recommandables ? Est-elle déséquilibrée ? A-t-elle mal interprété la situation ? Veut-elle se venger des hommes ? A-t-elle eu des remords après une relation consentie ? Rien ne lui sera épargné. En sortira-t-elle indemne ? Sûrement pas. Et cela quelle que soit la vérité.