Avec JURASSIC WORLD : LE MONDE D’APRÈS, Universal Pictures et Amblin Entertainment explorent des territoires aussi inconnus qu’audacieux, avec des dinosaures comme vous n’en avez jamais vus, des scènes d’action à couper le souffle et des effets spéciaux incroyables.
Réalisateur du premier Jurassic World (2015) après les deux Jurassic Park de Steven Spielberg, Colin Trevorrow extrapole la présence de dinosaures dans le monde contemporain, mais ne change guère la donne par rapport à Fallen Kingdom (2018) le film précédent, dont il est presque le remake.
Après la destruction de Isla Nublar, sanctuaire des dinosaures, les survivants ont été rapatriés dans des zoos aux quatre coins du monde. Mais des évasions de dinosaures et leur reproduction engendrent de plus en plus de confrontations avec les humains, dont ils mettent en danger la suprématie sur Terre. Quand les trafics de leurs semences se multiplient, Owen Grady et Claire Dearing reprennent du service pour contrer ces abus mercantiles et parer aux attaques des monstres. Seule véritable nouveauté, dans ce zoo virtuel aux effets spéciaux toujours plus perfectionnés, le scénario intègre toutes les préoccupations et autres urgences écologiques de notre époque, à commencer par la préservation des espèces animales. Oui, même les dinosaures, qui paraissent ici bien moins dangereux que les humains et leur soif de profit. La preuve avec les méfaits d’une multinationale de l’agroalimentaire (un double imaginaire de Monsanto ?), qui n’a rien trouvé de mieux, entre autres, que créer des sauterelles géantes menaçant de ravager les ressources du monde entier.