Birds of Prey (et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn) -12

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Lorsque Roman Sionis, l'ennemi le plus abominable – et le plus narcissique – de Gotham, et son fidèle acolyte Zsasz décident de s'en prendre à une certaine Cass, la ville est passée au peigne fin pour retrouver la trace de la jeune fille. Une histoire déjantée racontée par Harley en personne – d'une manière dont elle seule a le secret.

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Birds of Prey (et la fantabuleuse histoire d'Harley Quinn) est une histoire déjantée racontée par Harley en personne – d'une manière dont elle seule a le secret. Lorsque Roman Sionis, l'ennemi le plus abominable – et le plus narcissique – de Gotham, et son fidèle acolyte Zsasz décident de s'en prendre à une certaine Cass, la ville est passée au peigne fin pour retrouver la trace de la jeune fille. Les parcours de Harley, de la Chasseuse, de Black Canary et de Renee Montoya se télescopent et ce quatuor improbable n'a d'autre choix que de faire équipe pour éliminer Roman…
Margot Robbie n’a plus vraiment quelque chose à prouver. Actrice de superproductions, productrice chevronnée, nommée aux Oscars, aux BAFTA et aux Golden Globes, il ne lui restait qu’à porter sur ses épaules le poids d’un film de superhéros. C’est désormais chose faite avec «Birds of Prey (et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn)», dont elle est productrice exécutive et dans lequel elle reprend son rôle déjanté d’ancienne psychiatre devenue psychopathe. Persuadée que la personnalité anarchiste de Harley «s’exprimerait mieux au sein d’un groupe», Margot Robbie s’est mise à la tâche avec la scénariste Christina Hodson. «Tout a commencé avec Huntress. J’adore ce personnage et, avec mon idée de l’histoire de Harley, je voulais que le tout soit très contenu, je ne voulais pas du tout d’enjeux de fin du monde.». Donc un film de super-héroïnes réalisé, produit et interprété en grande partie par la gent féminine voilà qui devrait séduire nos amies. Et ça canarde à tout va dans ce kaléidoscope coloré où Harley Quinn prouve qu’elle n’a plus besoin de Monsieur J (alias le Joker) pour se défendre et venir à bout de l’horrible Roman Sionis interprété avec le talent qu’on lui connait par le survolté Ewan McGregor. C’est un peu trash, mâtiné d’humour glauque, un rythme endiablé, de la véritable BD transposée sur grand écran, du divertissement pur jus nouvelle génération. 
Le film a eu d’excellents retours des États-Unis, il est classé R donc déconseillé aux moins de 12 ans chez nous.